Sans doutambour  wikipediate le plus ancien instrument qui soit, le tambour résonne en nous comme en écho aux pulsations vitales de tout être vivant. Des « tambours du Burundi » à ceux du Bronx en passant par les « Wa daiko » Japonais, c’est toute cette puissance que l’on ressent, qui au travers des âges et des frontières, nous transporte et nous plonge dans nos plus primitives sensations.
Utilisé dès le moyen-age dans les églises puis très tôt comme moyen de communication à la guerre, il est plus présent comme outil de rythmique et dans les cérémonies aujourd’hui.
Les « tambours de l’Empire »,  portés par l’histoire Napoléonienne, nous ont transmis un riche patrimoine, issus principalement du XVII siècle.  Les Marches Folkloriques de l’Entre-Sambre-et-Meuse,  reconnues au patrimoine immatériel de l’UNESCO et dont  l’origine date du VIIIe siècle,  
perpétuent cette transmission.

Les batteries de Tambours et de  fifres sont à l’origine des batteries fanfares aujourd’hui 

tambour  Cénomans puis des fanfares, et représentent la musique populaire dans les fêtes  de nos communes auxquelles participent les Tambours Cénomans depuis plus de quatre générations, contribuant à la reconnaissance d’un instrument plutôt méconnu malgré l’attrait dont il bénéficit auprès des plus jeunes de par sa capacité à envoûter son auditoire.